Regina Pacis

Ecole primaire subsidiée (mixte et internat) dirigée par
les Soeurs Blanches Missionnaires de N.-D. d'Afrique.

"En 1943, les Soeurs Blanches prennent possession du nouvel établissement Regina Pacis. Alors qu'en 1929 déjà les «Femmes Coloniales» décident de l'ouverture d'une école primaire pour une dizaine d'élèves, ils seront une vingtaine en 1931, les cours sont donnés dans une maison particulière proche de l'hôpital." (JLG - Expo CFL Rebecq 2002 & Notes GW)

L'établissement et ses alentours
(images provenant d'un film 8mm)
Cliquez

Il y a plus de 60 ans...

Chant entonné par l'ensemble des élèves, au mois de mai 1959, dans la cour de récréation (niveau dortoirs), en l'honneur de la R.M. Supérieure Georges de Cappadoce, à l'occasion de son départ définitif de l'établissement (la plupart des Soeurs de Regina Pacis provenaient de la maison mère située à Astrida (Butare) au Ruanda-Urundi.

Unissons nos voix

Unissons nos voix avant de nous quitter
Je vais parcourir d’autres lieux.
La vie est si douce et le monde si beau,
Entonnons ce dernier adieu !

Refrain
Je vais par le monde emportant ma joie
Et mes chansons pour bagages.
Je chante l’amour et je chante ma foi,
Je pars pour un très long voyage.

II.
Je vais par les villes et je vais par les champs,
Mon coeur ne connaît pas la haine.
Mes poches sont vides et je lance mes chants
Qui sonnent très haut dans la plaine.

III.
Et si je rencontre la mort en chemin
Fauchant parmi les rangs des gueux
Oui, je serai prêt comme un vrai paladin,
Je dirai mon dernier adieu.

L'apprentissage du chant, faisait partie intégrante de l'enseignement dispensé par les soeurs. Il servait notamment à "meubler" les nombreux temps libres et autres mercredis et samedis après-midi, en particulier pour les pensionnaires de l'établissement.

Lettre de Soeur Ignacienne

R.M. Georges de Cappadoce

Quelques cantiques

Regina Pacis
Représentation imagée







			Soeur Georges; Soeur Ignacienne; Soeur Eva Marie; Notre Mère; Sr. Régine Marie; Soeur Marguerite; Soeur Sylvia - 31-12-1952

En 1958, c'était ma première année dans l'enseignement et j'avais 66 enfants présents dans ma classe, les 3 maternelles réunies. Malheureusement, le jour de la prise de vue, j'en avais 25 qui étaient absents (c'était la saison des pluies et ce jour-là il avait plu énormément). L'autre photo a été faite en octobre, à l'occasion du jour des missions; j'avais déguisé quelques uns de mes enfants. On peut voir Soeur Georges de Cappadoce à droite de la photo qui ajuste la cape d'un enfant. (Marie-Paule VILAIN)

Suite